ESG/RSE
ESG/RSE
Comment engager les mutations liées aux nouvelles exigences du marché en matière de performance extra-financière ?
Comment engager les mutations liées aux nouvelles exigences du marché en matière de performance extra-financière ?
Une véritable révolution « Green » s’annonce. Au-delà des nouvelles obligations de publication à court terme, les critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) vont devenir des éléments structurants des orientations stratégiques et d’évaluation de la performance des entreprises.
Ginini antipode accompagne les directions financières, acteurs majeurs de cette transformation, dans la structuration et le déploiement de leur projet de transition.
Une véritable révolution « Green » s’annonce. Au-delà des nouvelles obligations de publication à court terme, les critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG) vont devenir des éléments structurants des orientations stratégiques et d’évaluation de la performance des entreprises.
Ginini antipode accompagne les directions financières, acteurs majeurs de cette transformation, dans la structuration et le déploiement de leur projet de transition.
Nous avons identifié pour vous les 5 fondamentaux nécessaires à la transition et exposons notre proposition de valeur pour y répondre :
1
De nouvelles obligations de reporting
2
de process et d’outils
3
4
connectivité
5
de la performance
LES ENJEUX
Taxinomie verte dès cette année, mise en œuvre des nouvelles obligations Corporate Sustainability Reporting Directive (CSRD) en 2024 avec des normes européennes standardisant le format et le contenu de la DPEF, des normes internationales également en cours de développement … Le panorama des nouvelles obligations en matière de reporting RSE connaît un développement sans précédent impliquant désormais les Directions financières et nécessitant de déployer l’expertise acquise sur le reporting financier à de nouveaux éléments de finance durable
LES ENJEUX
Le développement de nouvelles normes européennes voire internationales définissant des standards obligatoires pour le contenu et le format des données de durabilité, va imposer aux entreprises la mise en place de nouveaux processus de collecte, de fiabilisation, d’analyse et de projection des données extra- financières. Il sera également nécessaire d’étudier l’opportunité d’adapter les outils existants ou de mettre en place de nouvelles solutions adaptées aux nouvelles exigences de conformité de la donnée.
Les processus et outils de reporting devront également s’adapter et s’étoffer pour obtenir des KPI « comptables » dont le niveau sera également dépendant de données non financières.
Enfin, le suivi de la performance des entreprises sera désormais également axé sur la performance extra-financière, de nouveaux process de suivi et de pilotage sont à mettre en place.
LES ENJEUX
Plusieurs banques ont d’ores et déjà annoncé la décarbonation de leur portefeuille. Le règlement Taxinomie va permettre aux établissements bancaires ou gestionnaires d’actifs de mesurer l’alignement de leurs portefeuilles, avec comme objectif de réorienter les capitaux vers des activités durables.
On peut donc s’attendre à des effets de tension sur l’accès et le coût des financements. A l’inverse, des opportunités liées à de nouveaux instruments plus attractifs seront disponibles.
Il s’agit donc pour les entreprises de comprendre, les enjeux de leur positionnement dans la taxinomie sur leur accès au financement, puis de projeter l’impact de leurs expositions au risque climatique sur leur financement à venir.
LES ENJEUX
Que ce soient les régulateurs (AMF, ESMA), les utilisateurs de comptes ou les investisseurs, tous appellent à une plus grande connectivité entre l’information financière et les engagements, risques et opportunités liés au développement durable. Ce principe de connectivité sera également un pilier des futures normes européennes dans le cadre de la CSRD.
Cela implique de s’assurer que les hypothèses comptables sont alignées avec les objectifs de durabilité mais également de communiquer sur ces éléments. Cela implique une communication externe reposant sur deux piliers cohérents et complémentaires : la performance financière et la finance durable.
LES ENJEUX
Pour répondre au mieux à l’ensemble de ces enjeux, c’est tout l’écosystème d’une entreprise qui doit évoluer pour intégrer ces facteurs dans la prise de décision et des projections des business plans.
Attentes clients , nouveaux produits , évolution des modes de production, surcoûts fournisseurs, besoins de financement …, autant d’éléments à intégrer pour évaluer les risques et opportunités RSE dans toute la chaîne de décision.
